
Plongée au cœur de l’histoire oubliée du musée de Saint-Nazaire
Aujourd’hui, grâce à notre association Musée-Saint-Nazaire, et des passionnés, l’histoire de ce musée ressurgit, pleine de mystères et de récits bouleversants. Découvrez comment ce lieu de culture a marqué son époque, ce qui s’y trouvait, et pourquoi il reste une source d’inspiration pour notre ville.
Saviez-vous que la ville de Saint-Nazaire, connue aujourd’hui pour son port et ses chantiers navals, abritait autrefois un trésor culturel méconnu ? En bordure de l’estuaire de la Loire, un musée vibrant d’art et d’histoire illuminait la ville. Hélas, les bombardements de la Seconde Guerre mondiale ont réduit ce joyau en cendres, emportant avec lui des œuvres inestimables et une part précieuse de notre mémoire collective.
Ce récit captivant, mêlant histoire locale et mémoire collective, est réservé aux adhérents de notre association Musée-Saint-Nazaire. Rejoignez nous pour plonger dans les coulisses de cette incroyable épopée. Ensemble, redonnons vie à ce passé fascinant et contribuons à transmettre cette histoire aux générations futures.
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Musée de Saint-Nazaire.
Recollement fait à partir des journaux de l’époque : Le Courrier de Saint-Nazaire, Le Phare de la Loire, L’Ouest-Eclair, sur la période allant de 1879 à 1943, consultables sur le site des Archives départementales de Loire-Atlantique, et notamment du blog Loup Odoevsky Maslov.

Musée de Saint-Nazaire.
L’idée de doter la ville de Saint-Nazaire d’un musée est apparue tardivement. Jusque dans les années 1880 la ville avait d’autres priorités ; son développement était totalement dépendant de celui du port et se concentrait sur l’aspect économique de celui-ci.
A la chute du Second-Empire, seule la vieille-ville, (à l’emplacement du Petit-Maroc), une part de la rue de Nantes, (avenue Henri Gautier), et de la place Marceau, (Ruban Bleu), étaient urbanisées. C’est durant les vingt premières années de la Troisième-République que la ville commença à prendre sa forme réelle, même si le tracé de ses voies avait déjà été décidé par l’ingénieur en chef des Ponts-et-chaussées, Paul Leferme